Au coeur de la vie, La respiration

Au cœur de la vie, la respiration. Trop souvent, nous banalisons la fonction respiratoire, essentielle et automatique, dont nous devons prendre soin chaque jour, à titre préventif, tout comme des autres fonctions de base de la vie quotidienne : manger, boire, se reposer.

« Avant de faire des exercices respiratoires, il est préférable de respirer le plus librement possible.»

Au cœur de la vie, la respiration. Trop souvent, nous banalisons la fonction respiratoire, essentielle et automatique, dont nous devons prendre soin chaque jour, à titre préventif, tout comme des autres fonctions de base de la vie quotidienne : manger, boire, se reposer.

  • De la première inspiration à la naissance jusqu’à la dernière expiration en fin de vie, la respiration est l’essence de la vie, qui alimente chacune de nos cellules et entretient leur bon fonctionnement ;
  • une respiration libre permet d’être plus actif en consommant moins d’énergie ;
  • une inspiration libre est reliée à la qualité de vie ;
  • une respiration libre doit être disponible avant, pendant et après toute activité ;
  • la respiration est reliée aux dimensions physiques, émotionnelles, mentales, énergétiques et sociales de tout être humain. C’est le caractère sacré du Souffle.

Pour comprendre la fonction respiratoire, il est nécessaire d’aller au-delà des connaissances anatomiques, physiologiques et pathologiques du poumon, des bronches et des alvéoles qui sont assez bien exposées par la science médicale. Ces connaissances ne sont pas l’objet de ce site Web.

Parallèlement à la fonction pulmonaire, il est essentiel de comprendre comment le niveau de tensions de tous les muscles du corps va influencer chaque inspiration et chaque expiration. C’est ce que l’on appelle la biomécanique respiratoire qui est indissociable des autres facettes de l’Être humain et qui donne au Souffle son caractère universel.

Chaque respiration est importante. En préservant notre capacité respiratoire tout au long de notre vie, nous conservons des réserves pour des états de stress éventuels, des imprévus pour la fin de vie. Un peu comme la cigarette, chaque respiration forcée use notre système en entier sans que nous nous en rendions nécessairement compte.

Pour une meilleure qualité de vie, prévenir c’est guérir. C’est une question de souffle et de vie.