\u00ab Malgr\u00e9 ses bienfaits \u00e0 plus ou moins long terme, le sport pratiqu\u00e9 sans conscience et connaissances incompl\u00e8tes peut devenir une source de tensions chroniques et de blocages [1]. \u00bb<\/p>\n
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En situation de stress chronique, nous ne nous reposons jamais vraiment.<\/strong> Notre capacit\u00e9 inspiratoire maximale diminue sans que nous nous en rendions compte, jusqu\u2019\u00e0 ce qu\u2019elle devienne insuffisante, entra\u00eenant son lot de sympt\u00f4mes qui s\u2019aggraveront. Ces sympt\u00f4mes deviennent alors \u00ab normaux \u00bb.<\/p>\n Si nous essayons d\u2019expirer plus longtemps afin d\u2019inspirer plus profond\u00e9ment, nous for\u00e7ons, d\u00e9pensons beaucoup trop d\u2019\u00e9nergie et aggravons les tensions. Cette situation nous para\u00eet normale et saine, alors que\u00a0 nous \u00e9touffons. Nos tensions quotidiennes forment alors notre petite cage dor\u00e9e, dans laquelle nous \u00a0nous croyons libres.<\/p>\n Les r\u00e9sultats d\u2019examens m\u00e9dicaux sont normaux, mais ne traduisent pas la r\u00e9alit\u00e9 du patient, qui souffre et \u00e9touffe r\u00e9ellement, et souvent ne se sent pas \u00e9cout\u00e9 ni compris. Il est possible d\u2019\u00e9valuer diff\u00e9remment les tests respiratoires (capacit\u00e9 vitale lente) en les associant \u00e0 la biom\u00e9canique respiratoire. On comprend alors mieux la souffrance du patient, condition sine qua non pour lui donner les moyens de gu\u00e9rir. Il est possible de trouver le juste \u00e9quilibre entre la m\u00e9dication et la r\u00e9\u00e9ducation ad\u00e9quate pour chaque patient qui pr\u00e9sente des sympt\u00f4mes dits subjectifs (r\u00e9els, mais variables). Non, psychosomatique ne veut pas dire imaginaire.<\/p>\n Voici quelques sympt\u00f4mes [2] du stress chronique qui peuvent varier en intensit\u00e9, fr\u00e9quence d\u2019apparition et dur\u00e9e\u00a0:<\/p>\n L\u2019\u00e9valuation biom\u00e9canique du stress chronique peut aussi nous renseigner sur ce que l\u2019on croit normal, mais qui est malsain :<\/p>\n Plusieurs autres sympt\u00f4mes peuvent \u00eatre \u00e9valu\u00e9s par la \u00ab Relaxation et R\u00e9orientation Respiratoire Int\u00e9gr\u00e9e (RRRI)\u00a0\u00bb. L\u2019important est de ne pas forcer pour bouger les bras ou le bassin \u00e0 la marche.<\/p>\n Les exercices en RRRI lib\u00e8rent ces mouvements naturels, procurent plus d\u2019\u00e9quilibre \u00e0 la marche [1] Si les sympt\u00f4mes persistent, il vaut mieux consulter un m\u00e9decin qui fera un diagnostic pr\u00e9cis, car ils [2] Beno\u00eet Tremblay<\/p>\n","protected":false},"excerpt":{"rendered":" En situation de stress chronique, nous ne nous reposons jamais vraiment. Notre capacit\u00e9 inspiratoire maximale diminue sans que nous nous en rendions compte, jusqu\u2019\u00e0 ce qu\u2019elle devienne insuffisante, entra\u00eenant son lot de sympt\u00f4mes qui s\u2019aggraveront. Ces sympt\u00f4mes deviennent alors \u00ab normaux \u00bb.<\/p>\n","protected":false},"author":2,"featured_media":315,"comment_status":"closed","ping_status":"closed","sticky":false,"template":"","format":"standard","meta":{"footnotes":""},"categories":[19],"tags":[],"yoast_head":"\n\n
\nsympt\u00f4mes bien r\u00e9els.<\/li>\nLes sympt\u00f4mes du stress chronique, ce tueur silencieux<\/h3>\n
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\net fait en sorte que cette activit\u00e9 soit moins fatigante.<\/p>\n
\npeuvent cacher ou \u00eatre associ\u00e9s \u00e0 des maladies plus graves.<\/p>\n